A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les catégories... |
Détail d'une collection
Collection Insee Analyses
- Editeur : INSEE
- ISSN : pas d'ISSN
Documents disponibles dans la collection
Affiner la rechercheBaby-boom et allongement de la durée de vie : quelles contributions au vieillissement ? / Didier BLANCHET
Titre : Baby-boom et allongement de la durée de vie : quelles contributions au vieillissement ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Didier BLANCHET, Auteur ; Françoise LE GALLO, Auteur Editeur : PARIS cedex 14 [FRANCE] : INSEE Année de publication : Septembre 2013 Collection : Insee Analyses num. 12 Importance : 4 p Langues : Français (fre) Catégories : 01. Politique générale:012. Démographie
01. Politique générale:012. Démographie:0126. Vieillissement
05. Aspect socio-culturel:059. Groupe de population Obsolète:0595. Baby Boomer Obsolète
08. Information :080. Qualificatif :0803. Statistique ObsolèteRésumé : Identifier les composantes du vieillissement démographique aide à mieux en saisir les conséquences et les façons de s'y adapter. Le maintien d'une fécondité relativement élevée et un flux migratoire de l'ordre de 100 000 entrées annuelles devraient suffire à préserver, à horizon prévisible, la France d'un processus de vieillissement « par le bas », celui qui découlerait d'une baisse de la population d'âge actif. Le vieillissement se fait donc « par le haut », c'est-à-dire par une croissance du nombre de plus de 60 ans. Cette croissance tient à deux facteurs : l'allongement de la durée de vie et l'arrivée aux âges élevés des générations nombreuses du baby-boom. On peut isoler l'effet du premier facteur en reconstituant la trajectoire d'une population fictive sans migrations ni fluctuations annuelles du nombre de naissances mais qui aurait été et serait à l'avenir soumise aux variations constatées ou anticipées de la mortalité. Une telle population aurait déjà connu un vieillissement marqué tout au long des cinquante dernières années et elle aurait dû en gérer progressivement les conséquences. L'effet du baby-boom se superpose à ce mouvement tendanciel. Il s'agit d'un effet « en V ». Les baby-boomers ont d'abord retardé le vieillissement en venant gonfler les tranches d'âge actives. Leur arrivée progressive aux tranches d'âge élevées le fait réaccélérer de 2006 à 2035. Il ralentira ensuite à nouveau, à partir de 2035-2040. Date de creation : 29/10/2013 En ligne : http://www.insee.fr/fr/ffc/iana/iana12/iana12.pdf Baby-boom et allongement de la durée de vie : quelles contributions au vieillissement ? [texte imprimé] / Didier BLANCHET, Auteur ; Françoise LE GALLO, Auteur . - PARIS cedex 14 (18, boulevard Adolphe Pinard, 75675, FRANCE) : INSEE, Septembre 2013 . - 4 p. - (Insee Analyses; 12) .
Langues : Français (fre)
Catégories : 01. Politique générale:012. Démographie
01. Politique générale:012. Démographie:0126. Vieillissement
05. Aspect socio-culturel:059. Groupe de population Obsolète:0595. Baby Boomer Obsolète
08. Information :080. Qualificatif :0803. Statistique ObsolèteRésumé : Identifier les composantes du vieillissement démographique aide à mieux en saisir les conséquences et les façons de s'y adapter. Le maintien d'une fécondité relativement élevée et un flux migratoire de l'ordre de 100 000 entrées annuelles devraient suffire à préserver, à horizon prévisible, la France d'un processus de vieillissement « par le bas », celui qui découlerait d'une baisse de la population d'âge actif. Le vieillissement se fait donc « par le haut », c'est-à-dire par une croissance du nombre de plus de 60 ans. Cette croissance tient à deux facteurs : l'allongement de la durée de vie et l'arrivée aux âges élevés des générations nombreuses du baby-boom. On peut isoler l'effet du premier facteur en reconstituant la trajectoire d'une population fictive sans migrations ni fluctuations annuelles du nombre de naissances mais qui aurait été et serait à l'avenir soumise aux variations constatées ou anticipées de la mortalité. Une telle population aurait déjà connu un vieillissement marqué tout au long des cinquante dernières années et elle aurait dû en gérer progressivement les conséquences. L'effet du baby-boom se superpose à ce mouvement tendanciel. Il s'agit d'un effet « en V ». Les baby-boomers ont d'abord retardé le vieillissement en venant gonfler les tranches d'âge actives. Leur arrivée progressive aux tranches d'âge élevées le fait réaccélérer de 2006 à 2035. Il ralentira ensuite à nouveau, à partir de 2035-2040. Date de creation : 29/10/2013 En ligne : http://www.insee.fr/fr/ffc/iana/iana12/iana12.pdf Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : L'allocation personnalisée d'autonomie à l'horizon 2040 Type de document : texte imprimé Editeur : PARIS cedex 14 [FRANCE] : INSEE Année de publication : Septembre 2013 Collection : Insee Analyses num. 11 Importance : 4 p Langues : Français (fre) Catégories : 01. Politique générale:010. Guide:0101. Condition de vie - Besoin
02. Economie et ressources :023. Ressource:0237. Prestation autonomie:0237 3. Allocation Personnalisée d'Autonomie (APA)
08. Information :080. Qualificatif :0802. Finance :0802 1. Financement Obsolète
08. Information :080. Qualificatif :0803. Statistique Obsolète:0803 1. Projection ObsolèteRésumé : Selon le scénario central de projections réalisées par la Drees en 2011, il y aurait 1,5 million de bénéficiaires de l'allocation personnalisée d'autonomie (APA) en 2025, et 2 millions en 2040, contre 1,2 million début 2012. Plusieurs périmètres de dépenses peuvent être associés à cette projection : (a) un besoin total de financement pour les bénéficiaires, (b) la part de ce besoin se situant sous le plafond de l'APA, et enfin (c) la part de ces dépenses effectivement prises en charge par la collectivité puisque, en sus du plafonnement, l'APA est soumise à un ticket modérateur qui dépend des ressources du ménage. En part de PIB, le besoin de financement s'établirait à 0,6 point de PIB en 2040, soit 0,2 point de plus qu'en 2010. Il dépend peu de la croissance car le coût de prise en charge de la dépendance est un coût salarial qui évolue au même rythme que le salaire moyen. Il dépend davantage des hypothèses sur l'état de santé des personnes âgées : 0,5 point de PIB en 2040 si l'espérance de vie sans dépendance augmente autant que l'espérance de vie (hypothèse optimiste) et 0,7 point si la prévalence de la dépendance à chaque âge reste la même qu'aujourd'hui (hypothèse pessimiste).En revanche, croissance et mode d'indexation du barème interagissent pour déterminer le partage du coût entre collectivité et bénéficiaires. Avec l'indexation prix et une croissance soutenue, la part du financement public chuterait de 68 % en 2010 à 54 % en 2040, date à laquelle il ne représenterait que 0,3 point de PIB. En croissance fortement ralentie et dans le cas de barèmes toujours indexés sur les prix, cette part remonterait à 0,4 point de PIB. Une indexation sur les salaires neutralise l'effet de la croissance et elle porterait la part du financement public à environ 0,5 point de PIB, toujours à l'échéance 2040.
Ces projections ont été réalisées à l'aide du modèle de microsimulation Destinie de l'Insee. Des projections plus complètes sont en cours de réalisation à la Drees.Date de creation : 08/11/2013 En ligne : http://www.insee.fr/fr/ffc/iana/iana11/iana11.pdf L'allocation personnalisée d'autonomie à l'horizon 2040 [texte imprimé] . - PARIS cedex 14 (18, boulevard Adolphe Pinard, 75675, FRANCE) : INSEE, Septembre 2013 . - 4 p. - (Insee Analyses; 11) .
Langues : Français (fre)
Catégories : 01. Politique générale:010. Guide:0101. Condition de vie - Besoin
02. Economie et ressources :023. Ressource:0237. Prestation autonomie:0237 3. Allocation Personnalisée d'Autonomie (APA)
08. Information :080. Qualificatif :0802. Finance :0802 1. Financement Obsolète
08. Information :080. Qualificatif :0803. Statistique Obsolète:0803 1. Projection ObsolèteRésumé : Selon le scénario central de projections réalisées par la Drees en 2011, il y aurait 1,5 million de bénéficiaires de l'allocation personnalisée d'autonomie (APA) en 2025, et 2 millions en 2040, contre 1,2 million début 2012. Plusieurs périmètres de dépenses peuvent être associés à cette projection : (a) un besoin total de financement pour les bénéficiaires, (b) la part de ce besoin se situant sous le plafond de l'APA, et enfin (c) la part de ces dépenses effectivement prises en charge par la collectivité puisque, en sus du plafonnement, l'APA est soumise à un ticket modérateur qui dépend des ressources du ménage. En part de PIB, le besoin de financement s'établirait à 0,6 point de PIB en 2040, soit 0,2 point de plus qu'en 2010. Il dépend peu de la croissance car le coût de prise en charge de la dépendance est un coût salarial qui évolue au même rythme que le salaire moyen. Il dépend davantage des hypothèses sur l'état de santé des personnes âgées : 0,5 point de PIB en 2040 si l'espérance de vie sans dépendance augmente autant que l'espérance de vie (hypothèse optimiste) et 0,7 point si la prévalence de la dépendance à chaque âge reste la même qu'aujourd'hui (hypothèse pessimiste).En revanche, croissance et mode d'indexation du barème interagissent pour déterminer le partage du coût entre collectivité et bénéficiaires. Avec l'indexation prix et une croissance soutenue, la part du financement public chuterait de 68 % en 2010 à 54 % en 2040, date à laquelle il ne représenterait que 0,3 point de PIB. En croissance fortement ralentie et dans le cas de barèmes toujours indexés sur les prix, cette part remonterait à 0,4 point de PIB. Une indexation sur les salaires neutralise l'effet de la croissance et elle porterait la part du financement public à environ 0,5 point de PIB, toujours à l'échéance 2040.
Ces projections ont été réalisées à l'aide du modèle de microsimulation Destinie de l'Insee. Des projections plus complètes sont en cours de réalisation à la Drees.Date de creation : 08/11/2013 En ligne : http://www.insee.fr/fr/ffc/iana/iana11/iana11.pdf Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : Des emplois à pourvoir pour accompagner le vieillissement de la population Type de document : document électronique Editeur : PARIS cedex 14 [FRANCE] : INSEE Année de publication : Juillet 2016 Collection : Insee Analyses num. 17 Importance : 4 p Langues : Français (fre) Catégories : 01. Politique générale:012. Démographie:0124. Personne âgée
01. Politique générale:012. Démographie:0126. Vieillissement
02. Economie et ressources :026. Emploi chômage :0262. Emploi
03. Aspect physiologique:030. Vieillissement de l'organisme:0304. DépendanceRésumé : En 2015, en Auvergne-Rhône-Alpes, 172 000 personnes âgées sont en situation de perte d’autonomie. Si les tendances se poursuivaient, elles seraient 187 000 en 2020 puis 215 000 en 2030. Actuellement, 109 000 emplois (en équivalent temps plein) permettent d’aider les personnes âgées en perte d’autonomie dans leur vie quotidienne, qu’elles vivent à leur domicile ou soient hébergées en institution. Les lois récentes donnent encore plus la priorité au maintien à domicile. Ainsi, 12 000 emplois supplémentaires seraient nécessaires à l’horizon 2020. Date de creation : 07/11/2016 En ligne : https://www.insee.fr/fr/statistiques/fichier/version-html/2019661/ar_ina_16.pdf Des emplois à pourvoir pour accompagner le vieillissement de la population [document électronique] . - PARIS cedex 14 (18, boulevard Adolphe Pinard, 75675, FRANCE) : INSEE, Juillet 2016 . - 4 p. - (Insee Analyses; 17) .
Langues : Français (fre)
Catégories : 01. Politique générale:012. Démographie:0124. Personne âgée
01. Politique générale:012. Démographie:0126. Vieillissement
02. Economie et ressources :026. Emploi chômage :0262. Emploi
03. Aspect physiologique:030. Vieillissement de l'organisme:0304. DépendanceRésumé : En 2015, en Auvergne-Rhône-Alpes, 172 000 personnes âgées sont en situation de perte d’autonomie. Si les tendances se poursuivaient, elles seraient 187 000 en 2020 puis 215 000 en 2030. Actuellement, 109 000 emplois (en équivalent temps plein) permettent d’aider les personnes âgées en perte d’autonomie dans leur vie quotidienne, qu’elles vivent à leur domicile ou soient hébergées en institution. Les lois récentes donnent encore plus la priorité au maintien à domicile. Ainsi, 12 000 emplois supplémentaires seraient nécessaires à l’horizon 2020. Date de creation : 07/11/2016 En ligne : https://www.insee.fr/fr/statistiques/fichier/version-html/2019661/ar_ina_16.pdf Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire