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Titre : Les services à la personne, davantages sollicités dans les zones rurales et âgées Type de document : texte imprimé Auteurs : Yohan BAILLIEUL, Auteur Editeur : PARIS cedex 14 [FRANCE] : INSEE Année de publication : Juillet 2013 Collection : Insee Première num. 1461 Importance : 4 p. Présentation : cartes, statistiques Langues : Français (fre) Catégories : 02. Economie et ressources :026. Emploi chômage :0260. Statistiques de l'emploi Obsolète
02. Economie et ressources :026. Emploi chômage :0267. Emploi de service :0267 2. Service à la personne
TerritoireRésumé : En 2010, 1,8 million de salariés, hors assistantes maternelles, ont travaillé au domicile de particuliers pour des services à la personne. Représentant près de 5 % des salariés en France, ils sont davantage sollicités dans le Sud-Ouest, dans les zones rurales, âgées et dans celles où la proportion de cadres est élevée. 90 % des salariés des services à la personne sont des femmes ; 24 % ont plus de 55 ans. Près d’un salarié sur trois travaille également en dehors du secteur des services à la personne. Le faible nombre d’heures travaillées chez les particuliers incite à cumuler les employeurs, le plus souvent à proximité : un tiers des salariés de particuliers-employeurs résident dans la même commune que leur(s) employeur(s). Date de creation : 25/10/2013 En ligne : http://www.insee.fr/fr/ffc/ipweb/ip1461/ip1461.pdf Les services à la personne, davantages sollicités dans les zones rurales et âgées [texte imprimé] / Yohan BAILLIEUL, Auteur . - PARIS cedex 14 (18, boulevard Adolphe Pinard, 75675, FRANCE) : INSEE, Juillet 2013 . - 4 p. : cartes, statistiques. - (Insee Première; 1461) .
Langues : Français (fre)
Catégories : 02. Economie et ressources :026. Emploi chômage :0260. Statistiques de l'emploi Obsolète
02. Economie et ressources :026. Emploi chômage :0267. Emploi de service :0267 2. Service à la personne
TerritoireRésumé : En 2010, 1,8 million de salariés, hors assistantes maternelles, ont travaillé au domicile de particuliers pour des services à la personne. Représentant près de 5 % des salariés en France, ils sont davantage sollicités dans le Sud-Ouest, dans les zones rurales, âgées et dans celles où la proportion de cadres est élevée. 90 % des salariés des services à la personne sont des femmes ; 24 % ont plus de 55 ans. Près d’un salarié sur trois travaille également en dehors du secteur des services à la personne. Le faible nombre d’heures travaillées chez les particuliers incite à cumuler les employeurs, le plus souvent à proximité : un tiers des salariés de particuliers-employeurs résident dans la même commune que leur(s) employeur(s). Date de creation : 25/10/2013 En ligne : http://www.insee.fr/fr/ffc/ipweb/ip1461/ip1461.pdf Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Baby-boom et allongement de la durée de vie : quelles contributions au vieillissement ? / Didier BLANCHET
Titre : Baby-boom et allongement de la durée de vie : quelles contributions au vieillissement ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Didier BLANCHET, Auteur ; Françoise LE GALLO, Auteur Editeur : PARIS cedex 14 [FRANCE] : INSEE Année de publication : Septembre 2013 Collection : Insee Analyses num. 12 Importance : 4 p Langues : Français (fre) Catégories : 01. Politique générale:012. Démographie
01. Politique générale:012. Démographie:0126. Vieillissement
05. Aspect socio-culturel:059. Groupe de population Obsolète:0595. Baby Boomer Obsolète
08. Information :080. Qualificatif :0803. Statistique ObsolèteRésumé : Identifier les composantes du vieillissement démographique aide à mieux en saisir les conséquences et les façons de s'y adapter. Le maintien d'une fécondité relativement élevée et un flux migratoire de l'ordre de 100 000 entrées annuelles devraient suffire à préserver, à horizon prévisible, la France d'un processus de vieillissement « par le bas », celui qui découlerait d'une baisse de la population d'âge actif. Le vieillissement se fait donc « par le haut », c'est-à-dire par une croissance du nombre de plus de 60 ans. Cette croissance tient à deux facteurs : l'allongement de la durée de vie et l'arrivée aux âges élevés des générations nombreuses du baby-boom. On peut isoler l'effet du premier facteur en reconstituant la trajectoire d'une population fictive sans migrations ni fluctuations annuelles du nombre de naissances mais qui aurait été et serait à l'avenir soumise aux variations constatées ou anticipées de la mortalité. Une telle population aurait déjà connu un vieillissement marqué tout au long des cinquante dernières années et elle aurait dû en gérer progressivement les conséquences. L'effet du baby-boom se superpose à ce mouvement tendanciel. Il s'agit d'un effet « en V ». Les baby-boomers ont d'abord retardé le vieillissement en venant gonfler les tranches d'âge actives. Leur arrivée progressive aux tranches d'âge élevées le fait réaccélérer de 2006 à 2035. Il ralentira ensuite à nouveau, à partir de 2035-2040. Date de creation : 29/10/2013 En ligne : http://www.insee.fr/fr/ffc/iana/iana12/iana12.pdf Baby-boom et allongement de la durée de vie : quelles contributions au vieillissement ? [texte imprimé] / Didier BLANCHET, Auteur ; Françoise LE GALLO, Auteur . - PARIS cedex 14 (18, boulevard Adolphe Pinard, 75675, FRANCE) : INSEE, Septembre 2013 . - 4 p. - (Insee Analyses; 12) .
Langues : Français (fre)
Catégories : 01. Politique générale:012. Démographie
01. Politique générale:012. Démographie:0126. Vieillissement
05. Aspect socio-culturel:059. Groupe de population Obsolète:0595. Baby Boomer Obsolète
08. Information :080. Qualificatif :0803. Statistique ObsolèteRésumé : Identifier les composantes du vieillissement démographique aide à mieux en saisir les conséquences et les façons de s'y adapter. Le maintien d'une fécondité relativement élevée et un flux migratoire de l'ordre de 100 000 entrées annuelles devraient suffire à préserver, à horizon prévisible, la France d'un processus de vieillissement « par le bas », celui qui découlerait d'une baisse de la population d'âge actif. Le vieillissement se fait donc « par le haut », c'est-à-dire par une croissance du nombre de plus de 60 ans. Cette croissance tient à deux facteurs : l'allongement de la durée de vie et l'arrivée aux âges élevés des générations nombreuses du baby-boom. On peut isoler l'effet du premier facteur en reconstituant la trajectoire d'une population fictive sans migrations ni fluctuations annuelles du nombre de naissances mais qui aurait été et serait à l'avenir soumise aux variations constatées ou anticipées de la mortalité. Une telle population aurait déjà connu un vieillissement marqué tout au long des cinquante dernières années et elle aurait dû en gérer progressivement les conséquences. L'effet du baby-boom se superpose à ce mouvement tendanciel. Il s'agit d'un effet « en V ». Les baby-boomers ont d'abord retardé le vieillissement en venant gonfler les tranches d'âge actives. Leur arrivée progressive aux tranches d'âge élevées le fait réaccélérer de 2006 à 2035. Il ralentira ensuite à nouveau, à partir de 2035-2040. Date de creation : 29/10/2013 En ligne : http://www.insee.fr/fr/ffc/iana/iana12/iana12.pdf Exemplaires
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Titre : Le passage de l’emploi à la retraite : Travailler pendant la retraite, une situation qui se développe Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphanie GOVILLOT, Auteur Editeur : PARIS cedex 14 [FRANCE] : INSEE Année de publication : Juin 2013 Collection : Insee Première num. 1449 Importance : 4 p Langues : Français (fre) Catégories : 01. Politique générale:012. Démographie:0123. Adulte Obsolète:0123 2. Senior Obsolète
01. Politique générale:012. Démographie:0124. Personne âgée
01. Politique générale:013. Durée de travail Obsolète :0132. Age de la retraite Obsolète
01. Politique générale:013. Durée de travail Obsolète :0133. Cumul emploi-retraite Obsolète
01. Politique générale:013. Durée de travail Obsolète :0134. Activité professionnelle à la retraite Obsolète
02. Economie et ressources :022. Retraite ObsolèteRésumé : Être retraité à 60 ans est moins fréquent en 2012 qu’en 2006 ; retraites précoces et cessations anticipées d’activité sont également plus rares. Ces évolutions ont été compensées avant tout par une forte hausse de l’emploi chez les 55 ans et plus.
En 2012, deux tiers des retraités sexagénaires sortis du marché du travail après 50 ans sont passés directement de l’emploi à la retraite. Pour le tiers restant, les trajectoires de fin de carrière sont marquées par le chômage, les problèmes de santé, la préretraite ou encore les contraintes familiales. Travailler pendant la retraite est plus fréquent aujourd’hui ; dans ce cas, l’emploi occupé est alors très souvent à temps partiel. En 2012, les quinquagénaires qui occupent un emploi envisagent d’arrêter de travailler à 61,4 ans en moyenne, soit 1,5 an de plus que leurs aînés en 2006.Date de creation : 30/10/2013 En ligne : http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1449 Le passage de l’emploi à la retraite : Travailler pendant la retraite, une situation qui se développe [texte imprimé] / Stéphanie GOVILLOT, Auteur . - PARIS cedex 14 (18, boulevard Adolphe Pinard, 75675, FRANCE) : INSEE, Juin 2013 . - 4 p. - (Insee Première; 1449) .
Langues : Français (fre)
Catégories : 01. Politique générale:012. Démographie:0123. Adulte Obsolète:0123 2. Senior Obsolète
01. Politique générale:012. Démographie:0124. Personne âgée
01. Politique générale:013. Durée de travail Obsolète :0132. Age de la retraite Obsolète
01. Politique générale:013. Durée de travail Obsolète :0133. Cumul emploi-retraite Obsolète
01. Politique générale:013. Durée de travail Obsolète :0134. Activité professionnelle à la retraite Obsolète
02. Economie et ressources :022. Retraite ObsolèteRésumé : Être retraité à 60 ans est moins fréquent en 2012 qu’en 2006 ; retraites précoces et cessations anticipées d’activité sont également plus rares. Ces évolutions ont été compensées avant tout par une forte hausse de l’emploi chez les 55 ans et plus.
En 2012, deux tiers des retraités sexagénaires sortis du marché du travail après 50 ans sont passés directement de l’emploi à la retraite. Pour le tiers restant, les trajectoires de fin de carrière sont marquées par le chômage, les problèmes de santé, la préretraite ou encore les contraintes familiales. Travailler pendant la retraite est plus fréquent aujourd’hui ; dans ce cas, l’emploi occupé est alors très souvent à temps partiel. En 2012, les quinquagénaires qui occupent un emploi envisagent d’arrêter de travailler à 61,4 ans en moyenne, soit 1,5 an de plus que leurs aînés en 2006.Date de creation : 30/10/2013 En ligne : http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1449 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : 15 millions de grands-parents Type de document : texte imprimé Auteurs : Nathalie BLANPAIN, Auteur ; Liliane LINCOT, Auteur Editeur : PARIS cedex 14 [FRANCE] : INSEE Année de publication : Octobre 2013 Collection : Insee Première num. 1469 Importance : 4 p Langues : Français (fre) Catégories : 04. Aspect psychologique:045. Communication - Relation
05. Aspect socio-culturel:051. Famille
05. Aspect socio-culturel:051. Famille:0514. Intergénération Obsolète
05. Aspect socio-culturel:051. Famille:0516. Grands parents Obsolète
05. Aspect socio-culturel:059. Groupe de population Obsolète:0592. Immigré Obsolète
08. Information :080. Qualificatif :0803. Statistique ObsolèteRésumé : En 2011, 8,9 millions de grand-mères et 6,2 millions de grands-pères, soit 15,1 millions de grands-parents vivent en France métropolitaine. Parmi les personnes âgées de 75 ans ou plus, une sur cinq n’est pas devenue grand-parent, soit parce qu’elle n’a pas eu d’enfant (14 %), soit parce que ses enfants n’en ont pas eu (6 %). Les personnes qui ont eu plusieurs enfants sont toutefois pratiquement assurées d’être grands-parents. Les femmes deviennent grand-mères à 54 ans en moyenne et les hommes grands-pères à 56 ans. Après 75 ans les grands-parents ont en moyenne 5,2 petits-enfants. Le Nord - Pas-de-Calais et la Lorraine sont les régions qui comptent le plus de grands-parents parmi les 75 ans ou plus (85 %), tandis que l’Île-de-France est celle qui en compte le moins (75 %). Plus on a de frères et sœurs, plus on a d’enfants puis de petits-enfants. Enfin, les petits-enfants connaissent plus souvent leurs grand-mères que leurs grand-pères, et plus souvent leurs grands-parents maternels que paternels. Date de creation : 31/10/2013 En ligne : http://www.insee.fr/fr/ffc/ipweb/ip1469/ip1469.pdf 15 millions de grands-parents [texte imprimé] / Nathalie BLANPAIN, Auteur ; Liliane LINCOT, Auteur . - PARIS cedex 14 (18, boulevard Adolphe Pinard, 75675, FRANCE) : INSEE, Octobre 2013 . - 4 p. - (Insee Première; 1469) .
Langues : Français (fre)
Catégories : 04. Aspect psychologique:045. Communication - Relation
05. Aspect socio-culturel:051. Famille
05. Aspect socio-culturel:051. Famille:0514. Intergénération Obsolète
05. Aspect socio-culturel:051. Famille:0516. Grands parents Obsolète
05. Aspect socio-culturel:059. Groupe de population Obsolète:0592. Immigré Obsolète
08. Information :080. Qualificatif :0803. Statistique ObsolèteRésumé : En 2011, 8,9 millions de grand-mères et 6,2 millions de grands-pères, soit 15,1 millions de grands-parents vivent en France métropolitaine. Parmi les personnes âgées de 75 ans ou plus, une sur cinq n’est pas devenue grand-parent, soit parce qu’elle n’a pas eu d’enfant (14 %), soit parce que ses enfants n’en ont pas eu (6 %). Les personnes qui ont eu plusieurs enfants sont toutefois pratiquement assurées d’être grands-parents. Les femmes deviennent grand-mères à 54 ans en moyenne et les hommes grands-pères à 56 ans. Après 75 ans les grands-parents ont en moyenne 5,2 petits-enfants. Le Nord - Pas-de-Calais et la Lorraine sont les régions qui comptent le plus de grands-parents parmi les 75 ans ou plus (85 %), tandis que l’Île-de-France est celle qui en compte le moins (75 %). Plus on a de frères et sœurs, plus on a d’enfants puis de petits-enfants. Enfin, les petits-enfants connaissent plus souvent leurs grand-mères que leurs grand-pères, et plus souvent leurs grands-parents maternels que paternels. Date de creation : 31/10/2013 En ligne : http://www.insee.fr/fr/ffc/ipweb/ip1469/ip1469.pdf Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : L'allocation personnalisée d'autonomie à l'horizon 2040 Type de document : texte imprimé Editeur : PARIS cedex 14 [FRANCE] : INSEE Année de publication : Septembre 2013 Collection : Insee Analyses num. 11 Importance : 4 p Langues : Français (fre) Catégories : 01. Politique générale:010. Guide:0101. Condition de vie - Besoin
02. Economie et ressources :023. Ressource:0237. Prestation autonomie:0237 3. Allocation Personnalisée d'Autonomie (APA)
08. Information :080. Qualificatif :0802. Finance :0802 1. Financement Obsolète
08. Information :080. Qualificatif :0803. Statistique Obsolète:0803 1. Projection ObsolèteRésumé : Selon le scénario central de projections réalisées par la Drees en 2011, il y aurait 1,5 million de bénéficiaires de l'allocation personnalisée d'autonomie (APA) en 2025, et 2 millions en 2040, contre 1,2 million début 2012. Plusieurs périmètres de dépenses peuvent être associés à cette projection : (a) un besoin total de financement pour les bénéficiaires, (b) la part de ce besoin se situant sous le plafond de l'APA, et enfin (c) la part de ces dépenses effectivement prises en charge par la collectivité puisque, en sus du plafonnement, l'APA est soumise à un ticket modérateur qui dépend des ressources du ménage. En part de PIB, le besoin de financement s'établirait à 0,6 point de PIB en 2040, soit 0,2 point de plus qu'en 2010. Il dépend peu de la croissance car le coût de prise en charge de la dépendance est un coût salarial qui évolue au même rythme que le salaire moyen. Il dépend davantage des hypothèses sur l'état de santé des personnes âgées : 0,5 point de PIB en 2040 si l'espérance de vie sans dépendance augmente autant que l'espérance de vie (hypothèse optimiste) et 0,7 point si la prévalence de la dépendance à chaque âge reste la même qu'aujourd'hui (hypothèse pessimiste).En revanche, croissance et mode d'indexation du barème interagissent pour déterminer le partage du coût entre collectivité et bénéficiaires. Avec l'indexation prix et une croissance soutenue, la part du financement public chuterait de 68 % en 2010 à 54 % en 2040, date à laquelle il ne représenterait que 0,3 point de PIB. En croissance fortement ralentie et dans le cas de barèmes toujours indexés sur les prix, cette part remonterait à 0,4 point de PIB. Une indexation sur les salaires neutralise l'effet de la croissance et elle porterait la part du financement public à environ 0,5 point de PIB, toujours à l'échéance 2040.
Ces projections ont été réalisées à l'aide du modèle de microsimulation Destinie de l'Insee. Des projections plus complètes sont en cours de réalisation à la Drees.Date de creation : 08/11/2013 En ligne : http://www.insee.fr/fr/ffc/iana/iana11/iana11.pdf L'allocation personnalisée d'autonomie à l'horizon 2040 [texte imprimé] . - PARIS cedex 14 (18, boulevard Adolphe Pinard, 75675, FRANCE) : INSEE, Septembre 2013 . - 4 p. - (Insee Analyses; 11) .
Langues : Français (fre)
Catégories : 01. Politique générale:010. Guide:0101. Condition de vie - Besoin
02. Economie et ressources :023. Ressource:0237. Prestation autonomie:0237 3. Allocation Personnalisée d'Autonomie (APA)
08. Information :080. Qualificatif :0802. Finance :0802 1. Financement Obsolète
08. Information :080. Qualificatif :0803. Statistique Obsolète:0803 1. Projection ObsolèteRésumé : Selon le scénario central de projections réalisées par la Drees en 2011, il y aurait 1,5 million de bénéficiaires de l'allocation personnalisée d'autonomie (APA) en 2025, et 2 millions en 2040, contre 1,2 million début 2012. Plusieurs périmètres de dépenses peuvent être associés à cette projection : (a) un besoin total de financement pour les bénéficiaires, (b) la part de ce besoin se situant sous le plafond de l'APA, et enfin (c) la part de ces dépenses effectivement prises en charge par la collectivité puisque, en sus du plafonnement, l'APA est soumise à un ticket modérateur qui dépend des ressources du ménage. En part de PIB, le besoin de financement s'établirait à 0,6 point de PIB en 2040, soit 0,2 point de plus qu'en 2010. Il dépend peu de la croissance car le coût de prise en charge de la dépendance est un coût salarial qui évolue au même rythme que le salaire moyen. Il dépend davantage des hypothèses sur l'état de santé des personnes âgées : 0,5 point de PIB en 2040 si l'espérance de vie sans dépendance augmente autant que l'espérance de vie (hypothèse optimiste) et 0,7 point si la prévalence de la dépendance à chaque âge reste la même qu'aujourd'hui (hypothèse pessimiste).En revanche, croissance et mode d'indexation du barème interagissent pour déterminer le partage du coût entre collectivité et bénéficiaires. Avec l'indexation prix et une croissance soutenue, la part du financement public chuterait de 68 % en 2010 à 54 % en 2040, date à laquelle il ne représenterait que 0,3 point de PIB. En croissance fortement ralentie et dans le cas de barèmes toujours indexés sur les prix, cette part remonterait à 0,4 point de PIB. Une indexation sur les salaires neutralise l'effet de la croissance et elle porterait la part du financement public à environ 0,5 point de PIB, toujours à l'échéance 2040.
Ces projections ont été réalisées à l'aide du modèle de microsimulation Destinie de l'Insee. Des projections plus complètes sont en cours de réalisation à la Drees.Date de creation : 08/11/2013 En ligne : http://www.insee.fr/fr/ffc/iana/iana11/iana11.pdf Exemplaires
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